J’ai découvert l’Aurar en 2011 lors d’un stage durant ma formation à l’Institut de formation en soins infirmiers (Ifsi). Ça m’a beaucoup plu d’allier l’aspect relationnel avec des patients chroniques et l’approche technique des soins en dialyse. En 10 ans, j’ai eu l’occasion d’enrichir ma pratique en assurant plusieurs missions : référent pharmacie, coordonnateur adjoint, référent BBraun (fournisseur de générateurs de dialyse), puis référent paramédical pour la formation au logiciel Médial. L’Aurar sait reconnaître l’implication professionnelle et le développement des compétences. C’est valorisant. Avec la dématérialisation des dossiers des patients, l’établissement a su également négocier le virage numérique sans négliger l’approche humaine des soins

J’ai 30 ans de diplôme d’infirmière cette année, dont 17 à l’Aurar. J’ai participé au lancement du centre de St-Benoît, ma ville natale, et œuvré au développement des centres de St-Denis. A l’Aurar, après 10 ans de libéral, j’ai tout réappris : l’hygiène, les protocoles, les procédures et les techniques de soins. J’ai surtout réappris le métier avec les anciennes aides-soignantes de St-Benoît. Elles n’étaient pas faciles, mais d’une grande rigueur. Grâce à elles, j’ai bénéficié d’une vraie culture hospitalière, que je continue d’appliquer et que j’ai plaisir à transmettre à la nouvelle génération. En cela, l’Aurar est une très bonne école de l’expertise en dialyse. Je sais d’où je viens, je suis fière de mon parcours professionnel, et reste très attachée à l’institution