REVUE DE PRESSE : FREEDOM.FR, IMAZ PRESS, HOSPIMEDIA
« On ne joue pas à la bourse, on ne spécule pas” sur le dos des dialysés, se défend l’Aurar
- FREEDOM : L’AURAR clame sa « bonne foi » et revendique « une gestion saine »
L’association a fait valoir de nombreuses rectifications lors de la phase contradictoire et attend sereinement les conclusions définitives du rapport.
Concernant son statut :
Bien que fiscalisée, l’Aurar reste un organisme à but non lucratif car aucun bénéfice n’est distribué à ses membres. Il n’y a ni actionnaire ni dividende. Les bénéfices sont réinvestis dans l’activité au profit des patients.
Concernant ses activités :
L’Aurar se consacre exclusivement aux soins des patients. Ses deux filiales concernent la formation de ses personnels et une application de coaching nutritionnel pour la prévention de l’obésité et du diabète.
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- HOSPIMEDIA : “On ne joue pas à la bourse, on ne spécule pas” sur le dos des dialysés, se défend l’Aurar
Mise à l’index par les magistrats financiers, l’Association pour l’utilisation du rein artificiel à La Réunion (Aurar) se défend de toute velléité lucrative. “Victimes” d’”amalgames”, ses dirigeants assurent que leurs actifs servent aux dialysés.
“Nos bénéfices sont un gage de bonne gestion. On ne les a pas volés !” Acteur privé non lucratif emblématique de la dialyse dans l’océan Indien, l’Association pour l’utilisation du rein artificiel à L…
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- IMAZ PRESS : L’Aurar (L’Association pour l’Utilisation du Rein Artificiel à La Réunion) répond point par point ce vendredi 29 mars 2019 : il n’y a ” aucune malversation “. L’Aurar a demandé plusieurs modifications à la Chambre des comptes. ” Beaucoup de chiffres étaient inexacts, nous avons demandé des corrections avant de voir apparaître le rapport définitif. ” L’Aurar répond aux accusations point par point.
” On se consacre exclusivement aux patients “, assure l’Aurar. Deux filiales se distinguent : d’un côté la formation des personnels, à hauteur de 20 000 euros par an, de l’autre une application de coaching personnel pour lutter contre le diabète et l’obésité, qui représente 60 000 euros par an. ” Nous n’avons pas d’autre activité “.
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